Mon avis sur le roman Presque une nuit d’été de Thi Thu, paru aux éditions Payot, en 2018

Le résumé de ce roman m’avait inspirée : Un premier roman plein de fraîcheur où une jeune photographe cherche à saisir les beautés éphémères du quotidien. Elle suit un inconnu qui rentre chez lui avec ses courses, discute dans un bus avec un employé noctambule, observe une mère portant son bébé sur le dos… Et, surtout, elle fait la rencontre d’une vieille dame énigmatique et de l’insaisissable Joh. Au fil de ses promenades, notre héroïne convoque des souvenirs personnels, recueille des histoires intimes, pleines d’humanité et de courage, mais aussi des récits plus extravagants ou merveilleux. Nguyen Thi Thu a passé une grande partie de son enfance au Vietnam. Sa langue maternelle, le vietnamien, influence directement son écriture en français.

Bon. En fait, je suis passée totalement à côté. Le point de départ est en effet intéressant, mais je suis restée totalement à l’écart, ce n’était clairement pas pour moi, ou pas le bon moment, trop contemplatif peut-être.

Plusieurs histoires s’enchevêtrent, entrecoupées de souvenirs, de légendes, de poésies… et cela m’a perdu!

Pourtant, des pages m’ont happée, quelques personnages aussi, qui auraient pu être davantage développés.

L’avez-vous lu ? Est-ce moi qui suis passée à côté ?

Presque une nuit d’été de Thi Thu est une participation au Challenge Petit Bac pour la catégorie moment de la journée.

5ème ligne du challenge

PRÉNOM : BD Hercule Poirot joue le jeu Agatha Christie Marek Charlier

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LIEU : À l’ECOLE des lettres par PoPésie et Maïté Robert

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ANIMAL : Le LOUP en slip n’en fiche pas une

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OBJET : La Jeune Fille à la PERLE Tracy Chevalier

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COULEUR : Les OMBRES d’Adelaide Hills

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MALADIE / MORT : Une VIE bouleversée Etty Hillesum

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PAYSAGE : Beaux RIVAGES

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MOMENT DE LA JOURNEE Presque une NUIT d’été

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BATIMENT : La PIECE manquante

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VEGETAL : BD Dans les forêts de Sibérie Virgile Dureuil Tesson