Traduit de l’italien par Laurent Lombard
Éditions Verdier, 2014.
Mon petit mot
Voici un petit livre étrange… entre poésie et philosophie, conte métaphysique, il marque ma première rencontre avec Antonio Moresco.
Il y a clairement dans ce livre des éléments “pas pour moi” : beaucoup de mystère, on ne sait rien des motivations du narrateur, de la cause de cette volonté d’isolement, de même du côté de l’enfant, les questions demeurent…
Et pourtant, je peux dire que j’ai aimé ce livre…
Par le regard porté sur la nature en particulier, par ces images qui naissent à la lecture, et pour la “petite ” musique de l’écriture, pour reprendre cet adjectif récurent.
Être attentif aux détails, à l’infiniment petit, remettre l’homme à sa “petite” place dans l’immensité de la galaxie et de l’histoire…
Une prose envoutante, un environnement inquiétant, de quoi rendre ce livre très prenant!

les galaxies c'est trop grand pour moi, les mystères trop mystérieux aussi, je passe
J'aurais un peu tendance à croire aussi que ce n'est pas pou moi… mais je tenterai quand même un jour !
Un auteur à l'univers assez étrange c'est vrai. Avec lui, ça passe ou ça casse !
c'est assez particulier, mais au final, j'en garderai un bon souvenir!
tous ces livres sont du même genre?
c'est ce que je pensais aussi, et finalement, j'ai plutôt aimé!
J'ai découvert Antonio Moresco (et son écriture belle et singulière) en lisant \”Fable d'amour\” sélectionné pour le Prix de notre médiathèque l'an dernier. Et j'ai tellement aimé que j'ai lu la trilogie, charmée aussi par \”La petite lumière\”, beaucoup moins par \”Les incendiés\”…
je retenterai peut-être plus tard Fable d'amour!
A découvrir encore pour moi… mais ton billet m'intrigue 😉
le livre l'est!