Matriochka Cristina Comencini
éditions Verdier 2002
Traduit de l’italien par Carole Walter
Mon petit mot sur Matriochka Cristina Comencini
Je découvre avec ce livre, qui se passe pour l’essentiel à Rome, une auteure dont j’aime beaucoup la plume!
Des thèmes qui m’ont bien accrochée, la création féminine, entravée ou au contraire qui réussit pleinement, la difficulté de la concilier avec la vie de famille, mais aussi la réflexion sur l’écriture, ses pouvoirs, l’autobiographie, sa réécriture des souvenirs… entre rêve, réalité, recomposition de fragments de vie… un puzzle aux pièces qui s’emboitent peu à peu, comme ces fameuses poupées gigognes!
Des personnages complexes, la vie se déroule, ses joies, ses drames, les relations parents-enfants, le corps y tient une place centrale, morcelé, sculpté, abime par la vieillesse, la maladie…
Ils forment au total deux beaux portraits de femme, en compagnie desquelles j’ai passé un agréable moment de lecture!
Bref, une auteure notée dans ma liste pour mes prochaines envies de lecture!
Matriochka Cristina Comencini
je note. Ces lectures italiennes réservent encore des surprises!
Cela fait partie des bonnes surprises de la série !
Moi aussi je note, est-ce qu'elle est parente du cinéaste ?
oui, c'est sa fille!