XO éditions Mars 2017
Paris, un atelier d’artiste caché au fond d’une allée verdoyante.
Madeline l’a loué pour s’y reposer et s’isoler.
À la suite d’une méprise, cette jeune flic londonienne y voit débarquer Gaspard, un écrivain misanthrope venu des États-Unis pour écrire dans la solitude.
Madeline l’a loué pour s’y reposer et s’isoler.
À la suite d’une méprise, cette jeune flic londonienne y voit débarquer Gaspard, un écrivain misanthrope venu des États-Unis pour écrire dans la solitude.
L’atelier a appartenu au célèbre peintre Sean Lorenz , qui terrassé par l’assassinat de son petit garçon, est mort un an auparavant, laissant derrière lui trois tableaux, aujourd’hui disparus. Fascinés par son génie, intrigués par son destin funeste, Madeline et Gaspard décident d’unir leurs forces afin de retrouver ces toiles réputées extraordinaires.
Mon petit mot
Cela faisait longtemps que je n’avais pas lu un livre de cet auteur!
Mais l’évocation du domaine artistique de la quatrième de couverture m’ont donné envie de m’y pencher et j’ai passé un agréable moment en compagnie de ces personnages.
Tout est fait pour tenir le lecteur en haleine, une narration alternée entre les deux protagonistes, une écriture simple qui permet de lire très vite le roman, des personnages qui cachent tous bon nombre de secrets que l’on découvre au fil des chapitres, un côté “course contre la montre” pour le final , on se prend vite au jeu et on n’a pas envie de lâcher le roman avant la fin!Paris ne fait au final pas vraiment rêver, Madrid, guère plus, c’est aux Etats-Unis et en Grèce qu’il faudra chercher mieux!
Bref, les habitués de l’auteur retrouveront des personnages présents dans d’autres romans (les autres comme moi suivront quand même l’intrigue sans difficulté), et l’ensemble donne envie de redécouvrir l’art de rue.