Des spectacles entre ici et ailleurs…
Going home Vincent Hennebicq
Théâtre des Doms
- avec : Vincent Cahay, Maxime Van Eerdewegh, Dorcy Rugamba, François Sauveur
- Scénographie et lumière : Fabrice Murgia, Giacinto Caponio
- Création et régie son : Cédric Otte
La main de Leïla de Aïda Asgharzadeh et Kamel Isker / Régis Vallée #off16
Béliers



- avec : Aïda Asgharzadeh, Kamel Isker, Azize Kabouche
- Metteur en scène : Régis Vallée
- Lumières : Guillaume Tesson
- Scénographie : Philippe Jasko
- Musique : Manuel Peskine
- Costumes : Marion Rebmann
Nous sommes en 1987, à Sidi Fares, dans un garage transformé en cinéma totalement illégal.
L’histoire de l’Algérie (au moment des émeutes d’octobre 1988 et de la chute du FLN), des amours impossibles, des espoirs, des rêves… et le cinéma… voilà la toile de fond de cette comédie romantico-dramatique qui regorge de trouvailles côté décors et scénographie!
Avec trois fois rien, beaucoup d’imagination, et des acteurs qui jouent plusieurs rôles, on est transporté ailleurs, on sourit, on frémit…
et l’on en sort avec l’envie de revoir les films cités dans la pièce… en version non censurée bien sûr! (quoique Dirty Dancing version documentaire pour club de vacances américain…ça peut valoir le coup ! )
Bref, on oscille entre légèreté, petite et grande histoire de belle manière!
Amok STEFAN ZWEIG Caroline Darnay #off16
Roi René
- avec Alexis Moncorgé
- Metteur en scène : Caroline Darnay
- Créateur Lumières : Denis Koransky
- Scénographe : Caroline Mexme
- Créateur sonore : Thomas Cordé
- Chorégraphe : Nicolas Vaucher
Un jour ou l’autre Linda McLean Blandine Pélissier #off16
- avec : Eric Herson-Macarel, André Le Hir, Sarah Vermande, Line Wiblé
- Mise en scène : Blandine Pélissier
- Assistante à la m.e.s : Behi Djanati Ataï
- Lumière : Xavier Duthu
- Son : Phil Reptil
- Scénographie/costumes : So Beau-Blache
- Arthéphile
Suivant le fil découverte d’auteurE pour ce festival , voici une première pièce dans cette thématique !
L’occasion aussi de découvrir joli petit théâtre avec une belle programmation, une salle où je reviendrais volontiers !
Ils semblent être des gens ordinaires… un peu plus cabossés peut-être… ce qui n’empêche ni l’humour ni la tendresse.. et puis des fêlures qui apparaissent peu à peu… Un homme cherche à protéger sa femme, mais il lui est impossible de la surveiller en permanence…
Un axe très réaliste (sacré jeu d’acteurs) , on observe, on scrute, sans juger… mais pas sans réfléchir , parce qu’on a tous des jours sans et pas toujours quelqu’un pour nous tenir la main.
Le graphisme de l’affiche m’avait étonnée, il s’éclaire tout à fait au fil de la pièce !
La fin m’a laissée un peu songeuse, mais je pense que j’en garderai un bon souvenir!