Retour sur le spectacle, Le vertige des girafes, par le collectif Le Poulpe, vu au festival WET (entre Beauté Fatale Compagnie Les Scies Sauteuses WET et VARIATION (COPIES !) Théophile Dubus et 37 heures Elsa Adroguer, théâtre)
Elle vit sa vie par procuration devant son écran d’ordinateur et dans ses livres… Elle parle à sa plante verte, s’invente des vies, donne des concerts à son frigo et réalise des interviews face à sa cafetière… Sa vraie vie n’est pas vraiment conforme à ses rêves alors elle s’en invente une et nous entraine dans son imaginaire!
Seule en scène, Delphine Meilland nous fait partager une tranche de vie de cette jeune femme avec ses doutes, ses frustrations, ses complexes et ses rêves. Tantôt si maladroite et si touchante quand elle rejoue les scènes manquées dans la vraie vie et les décline à l’infini, tantôt si involontairement drôle, sa réalité semble avoir bien peu de chance d’être à la hauteur de ses fantasmes… et cela donne une anti-héroïne dont une suit une tranche de vie avec plaisir!
Un spectacle qui donne le sourire!
Le Vertige des Girafes
Texte, mise en scène et musique Jules Jacquet
Jeu Delphine Meilland
Lumières Paul Berthomé
Décors Paul Berthomé et Alexandre Hulak / La Charpente, lieu de création
Pour suivre le travail de ce collectif https://collectiflepoulpe.com/ (je garde un excellent souvenir de la Lecture de Seule Venise dans le cadre du Festival de poche à Tours
[…] mon coup de coeur pour Beauté Fatale par la Compagnie Les Scies Sauteuses , ; Le vertige des girafes Théâtre et le bouleversant et nécessaire 37 heures Elsa Adroguer, rires assurés avec ce spectacle […]
[…] au festival WET, où j’ai également vu : VARIATION (COPIES !) Théophile Dubus , Le vertige des girafes et 37 heures Elsa […]