Éditions Noir sur Blanc, janvier 2019
Traduit par Marianne Millon
Argentine
L’héroïne (ou anti héroïne plutôt !) de ce premier roman est une jeune étudiante originaire de Buenos Aires, venue en Angleterre pour des études d’histoire de l’art.
La réussite scolaire est là, mais le travail ensuite, non.
Un retour à Buenos Aires aux couleurs de l’échec, et puis un sursaut et repartir: sa mère peut lui financer une nouvelle année en Angleterre, aux allures de couperet.
Un an pour réussir à trouver du travail et à y construire sa vie…
C’est cette nouvelle année en Angleterre qui nous est dévoilée, d’échecs en désillusions, de “baissage de bras” en petits boulots, de logements de plus en plus minables en rencontres pas toujours positives, on suit le glissement de la jeune femme, au fur et à mesure que le pécule familial fond.
Elle sombre de plus en plus, s’auto-mutile, vit une sexualité tout sauf romantique, ne pense qu’à elle, profite à fond de l’argent de cette mère qu’elle ne semble guère apprécier… c’est l’anti-héroïne parfaite, pas très attachante, perturbée et perturbante. On aurait envie de la secouer plus que de lui tendre la main !
Au final, je ne sais pas trop quoi en penser… impression d’être passée à côté du message de ce roman? Je guetterai d’autres avis!
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Challenge rentée d’hiver |
Bof, pas tentée par ce que tu en dis.
j'ai vu quelques avis plus poistifs que le mien!
Il m'attend, on verra bien.
je guetterai ton avis!
Ouf… je ne suis pas certaine que ce soit pour moi. Du coup, je vais passer… pour une fois que je ne me laisse pas tenter!
un de moins dans la liste!