Trani
Un début de journée sous une averse mémorable!
Mais le ciel finit par se dégager le temps que nous visitions l’intérieur de la cathédrale, et nous permit de nous balader ensuite le long du port et dans les ruelles du centre de façon plus agréable!
Au bord de la mer Adriatique, cette cité fût longtemps un port stratégique vers la Grèce et l’Orient.
Au fil de la visite, Castello Svevo, le château qui , édifié en 1233, qui en 1259 accueilli le mariage de Manfred, fils de Frédéric II, avec Hélène d’Epire, de nombreuses églises, un ancien bâtiment des Templiers, l’étroit quartier juif …
Le tout orienté autour de la mer…
la mer est partout
La cathédrale
La crypte dédiée à Saint Nicolas se compose de 28 colonnes en marbre grec, surmontées de chapiteaux réalisés dans la même pierre.
La cathédrale fut bâtie sur l’ancienne église byzantine Santa Maria della Scala
Balade au fil des rues…
La tour de l’horloge et ces nombreux passages voutés sous les maisons
Saint Nicolas le pèlerin
de quoi étendre le linge même par temps humide
les carrières de pierre aux alentours
Castel del Monte
Le plus célèbre des châteaux de Frédéric II !
La personnalité complexe de Frédéric, son comportement et les idées qu’on lui prêta scandalisèrent les contemporains. D’une curiosité d’esprit universelle,il est l’auteur d’un traité de fauconnerie, et il composa, en italien, des poèmes d’amour à la façon des Minnesänger.
Le château
Celui-ci figure sur la liste du patrimoine mondial de l’Unesco pour la perfection de ses formes et pour l’union harmonieuse d’éléments culturels de l’Europe du Nord, du monde islamique et de l’antiquité classique, exemple typique d’architecture militaire du Moyen Âge.
La fonction exacte de cet impressionnant édifice est encore inconnue. Privé d’éléments architecturaux typiquement requis dans l’architecture militaire, posté sur une position non stratégique, cet édifice n’a probablement jamais été conçu pour être une forteresse plutôt comme un emblème de la couronne.
Les escaliers en colimaçon dans les tourelles montent en sens inverse des aiguilles d’une montre, à la différence de toutes les autres constructions défensives de l’époque, situation qui désavantage les occupants du château vis-à-vis d’éventuels assaillants, parce qu’ils auraient été obligés de tenir leur arme de la main gauche. Les meurtrières, en outre, sont trop étroites pour envisager de les utiliser pour tirer des flèches.
L’hypothèse qu’il s’agissait d’une résidence de chasse, activité que le souverain affectionnait, est remise en doute par la présence d’ornements élaborés et l’absence d’écuries et d’autres annexes typiques des résidences de chasse.
À cause du fort symbolisme dont le lieu est imprégné, il a été suggéré que le bâtiment pourrait être une sorte de lieu de culte, ou peut-être une sorte de temple du savoir, où l’on puisse se consacrer à la science sans être dérangé.
Sous le bassin qui se trouvait au centre de la cour, se trouve une large citerne pour recueillir les eaux pluviales, il existe cinq autres citernes dans les tourelles. Un système de récupération de la condensation des murs est également présent dans le château où l’on trouve plusieurs latrines, ainsi qu’un “interphone” permettant la communication entre les étages.
latrines, avec lavabo et vestiaire à côté
trace de cheminée et ” d’interphone”
Il ne servit que rarement à des fêtes, parmi lesquelles il faut noter, en 1246, les noces de la princesse Violante di Svevia, fille naturelle de Frédéric et Bianca Lancia avec le conte de Caserte. L’édifice connut de longues périodes d’abandon, pendant lesquelles il se vit dépouillé de ses décorations et de ses ornements muraux en marbre (dont les seules traces subsistantes sont derrière les chapiteaux) et devint tour à tour une prison, puis un refuge pour les bergers, les brigands et les réfugiés politiques. En 1876, le château fut acheté par l’État italien, dans un état de préservation extrêmement précaire, et les restaurations ne commencèrent qu’en 1928.
Bitonto
A l’intérieur, à noter un ambon en marbre, avec une représentation des empereurs souabe Frédéric Ier Barberousse, Henri VI, Frédéric II et son fils Conrad.
Vue du côté actuellement en travaux
Detect languageAfrikaansAlbanianArabicArmenianAzerbaijaniBasqueBelarusianBengaliBosnianBulgarianCatalanCebuanoChichewaChinese (Simplified)Chinese (Traditional)CroatianCzechDanishDutchEnglishEsperantoEstonianFilipinoFinnishFrenchGalicianGeorgianGermanGreekGujaratiHaitian CreoleHausaHebrewHindiHmongHungarianIcelandicIgboIndonesianIrishItalianJapaneseJavaneseKannadaKazakhKhmerKoreanLaoLatinLatvianLithuanianMacedonianMalagasyMalayMalayalamMalteseMaoriMarathiMongolianMyanmar (Burmese)NepaliNorwegianPersianPolishPortuguesePunjabiRomanianRussianSerbianSesothoSinhalaSlovakSlovenianSomaliSpanishSundaneseSwahiliSwedishTajikTamilTeluguThaiTurkishUkrainianUrduUzbekVietnameseWelshYiddishYorubaZulu | AfrikaansAlbanianArabicArmenianAzerbaijaniBasqueBelarusianBengaliBosnianBulgarianCatalanCebuanoChichewaChinese (Simplified)Chinese (Traditional)CroatianCzechDanishDutchEnglishEsperantoEstonianFilipinoFinnishFrenchGalicianGeorgianGermanGreekGujaratiHaitian CreoleHausaHebrewHindiHmongHungarianIcelandicIgboIndonesianIrishItalianJapaneseJavaneseKannadaKazakhKhmerKoreanLaoLatinLatvianLithuanianMacedonianMalagasyMalayMalayalamMalteseMaoriMarathiMongolianMyanmar (Burmese)NepaliNorwegianPersianPolishPortuguesePunjabiRomanianRussianSerbianSesothoSinhalaSlovakSlovenianSomaliSpanishSundaneseSwahiliSwedishTajikTamilTeluguThaiTurkishUkrainianUrduUzbekVietnameseWelshYiddishYorubaZulu |