nymphéas noirs Michel Bussi

Tout n’est qu’illusion, surtout quand un jeu de miroirs multiplie les indices et brouille les pistes. Pourtant les meurtres qui troublent la quiétude de Giverny, le village cher à Claude Monet, sont bien réels. Au coeur de l’intrigue, trois femmes : une fillette de onze ans douée pour la peinture, une institutrice redoutablement séduisante et une vieille femme aux yeux de hibou qui voit et sait tout.
Mon petit mot
 
Un roman policier dans le monde de l’art, de quoi me plaire!
Et en effet, une plongée directe dans le monde des impressionnistes et dans le village de Giverny (que j’avais visité en plein mois d’août avec beaucoup beaucoup d’autres touristes!), j’ai  d’autant plus apprécié de m’y promener « virtuellement » à nouveau sur les traces des personnages, et de découvrir un peu l’envers du décor du lieu!
Côté enquête au départ, j’ai été un peu agacée par ces fins de chapitres qui vous plantent là sur une petite phrase pleine de suspens tandis que le chapitre suivant passe à un autre personnage… bref, on est accroché , c’est efficace!
Le final réserve son lot de surprises… et donne l’envie de relire plusieurs passages du livre pour tenter de repérer un indice qui nous aurait échappé.
Et puis un roman policier qui donne envie à la fois de lire Aurélien d’Aragon et de pousser la porte d’un musée (l’orangerie par exemple, ou tout au moins de retourner à Giverny), ou encore de faire des recherches sur les tableaux évoques comme le Baiser de Steinlen du musée de Vernon, cela lui fait beaucoup de points positifs! 

17 commentaires

  1. Je n'ai pas encore lu \ »Nymphéas noirs\ » mais je pense finir par le lire, je n'en vois que de très bonnes critiques ! J'avais adoré \ »Ne lâche pas ma main\ » et d'ici peu, je vais commencer \ »Un avion sans elle\ » 🙂

  2. Je ne me souviens plus de l'intrigue et ce qui me reste, dans ce roman, après ma lecture qui date de la parution, c'est tout ce qui a trait à l'art, à Giverny. Une bonne raison de le lire.

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