Une (sombre) histoire familiale nous entraîne de l’Italie à la France, de la guerre à l’époque contemporaine.
Du point de vue de la mère à celui de la famille, nous sont livrés des secrets de famille, entre tempête sur la côte et déchaînement des sentiments, langage du corps et libération de la parole.
Il y a aussi le rapport aux mots, à la langue, aux livres…. et à la musique avec en particulier Les suites pour violoncelle de Bach qui reviennent comme un fil conducteur.
Le rapport au corps de la danseuse, à celui du modèle du peintre , au corps vieillissant de la mère, au corps maltraité de la prostituée… L’amour… l’abandon…
Un roman intense qui marque ma première rencontre avec cette auteure, j’ai apprécié!
D’autres lectures : Ceux qui partent; Jeanne Benameur
L’ exil n’ a pas d’ ombre; Jeanne Benameur
L’ ;enfant qui, Jeanne Benameur
Les demeurées de Jeanne Benameur