Ta gueule! On tourne Jade-Rose Parker

Editeur : KERO (29 août 2013)
Michel, Karen et François sont trois amis en constat d’échec. Michel rêve de devenir réalisateur mais son scénario est refusé pour la énième fois. Karen, séduisante jeune femme, enchaîne castings et projets minables tandis qu’elle aspire à une carrière d’actrice hollywoodienne. Quant à François, ses montages financiers frauduleux l’ont mené à la faillite, sa femme l’a quitté, et il s’apprête à se pendre dans son appartement bourgeois dont les meubles ont été saisis. Ces trois-là n’ont plus rien à perdre et c’est forts de ce capital qu’ils s’associent dans une entreprise insensée : kidnapper les six plus grandes stars du cinéma pour les obliger à jouer dans le film de Michel, dont Karen sera la vedette et François, le producteur.

Mon petit mot
Cinéma, ton univers impitoyable!
Après des dernières belles lectures, mais pas franchement hilarantes, cela fait du bien de poursuivre l’exploration de cette rentrée littéraire le sourire aux lèvres!
Des loosers attachants, une galerie de portraits bien croqués, des beaux sentiments aussi bien que les coups les plus tordus possibles, on passe un très bon moment avec ces personnages.
Loufouque et léger, cela fait du bien, le genre de roman idéal pour affronter le gris de l’automne! Et puis il y a les coulisses du cinéma (des images nous viennent d’ailleurs de tels ou tels acteurs que l’on envisagerait bien dans l’un ou l’autre des personnages), de la galère des débutants aux luxe des stars « arrivées » pour qui la vie est pourtant loin d’être un long fleuve tranquille, entre rivalités et paparazzis, et une jeune auteure- comédienne -musicienne à suivre!

8 commentaires

  1. Merci Eimelle !!! Ca me fait vraiment plaisir que tu aies aimé mon premier roman :)Belle continuation,Jade-Rose

  2. Merci à vous pour ce bon moment de lecture, et de prendre le temps de passer par les blogs! Bonne continuation, et au plaisir de découvrir le prochain!

  3. la couverture m'aurait plutôt fait fuir, mais puisque tu as aimé je m'y arrêterai peut être s'il est sur les portoirs de la bibliothèque

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